Je t’aime tant, ma Douce
Je t’aime tant,
ma Douce,
d’être ainsi tendre et câline
en
l’
asile de mes bras,
je t’aime tant
quand
la mousseline de nos robes,
et
la soie de nos bas
gisent,
à terre,
inertes,
avec la flûte de nos escarpins,
je t’aime tant
quand
tu me serres contre toi
seins contre seins,
tétons
contre tétons,
clitoris
contre
clitoris,
parmi
la
voûte de nos rimes de chair,
je t’aime tant,
ô ma Déesse d’harmonie
de gémir
sur
le lys de nos nuits,
des heures durant,
dessus
la couronne de la Jouissance
avec
pour
seules armes,
le soleil de ta cyprine,
et
l’
hymne de ta Splendeur !
Sophie 839
Je t’aime tant,
ma Douce,
d’être ainsi tendre et câline
en
l’
asile de mes bras,
je t’aime tant
quand
la mousseline de nos robes,
et
la soie de nos bas
gisent,
à terre,
inertes,
avec la flûte de nos escarpins,
je t’aime tant
quand
tu me serres contre toi
seins contre seins,
tétons
contre tétons,
clitoris
contre
clitoris,
parmi
la
voûte de nos rimes de chair,
je t’aime tant,
ô ma Déesse d’harmonie
de gémir
sur
le lys de nos nuits,
des heures durant,
dessus
la couronne de la Jouissance
avec
pour
seules armes,
le soleil de ta cyprine,
et
l’
hymne de ta Splendeur !
Sophie 839